Alors, comme il est écrit dans le titre, Yukihiro Kimura m'a donné l'envie de mettre mes poèmes également. J'en ai plusieurs, ça risque d'être long! Je préviens, ce sont des poèmes plutôt noirs.
La princesse
Il était un fois
Non loin de là
Une jeune princesse
Belle comme une déesse
Était désepérée
Car l'amour l'avait abandonnée
Son coeur c'était glacé
Elle ne pouvait plus aimer
Elle avait rencontré le prince
Qui pour elle, en pince
Mais comme le coeur de la princesse
Était insensible au prouesse
Que le prince lui avait consacré
Incapable de le suporté
Elle se coupa les veines elle- même
Et ce n'ai qu'après qu'elle pu dire je t'aime
Ange déchue
Ancienne ange
Devenue étrange
Ange de lumière
Devenue poussière
Ange pleine de joie
Detruit par les lois
Ange merveilleuse
Devenue lacheuse
Ange des dieux
Devenue si peu
Ange au chant d'alouette
Devenue muette
Ange servante
Devenue agaçante
Ange docile
Devenue fébrille
Ange enjouée
Devenue déprimée
Ange sublîme
Devenue livide
Ange d'espoir
Devenue noire
Déprimée?
À chaque fois que j'y songe, le mal me ronge.
Mon souffle est coupé, je ne peux plus respirer.
Je ferme les yeux, je ne voix rien d'heureux.
Les ténèbres et le noir, m'empêche de rêver et de voir.
Un si grand vide est en moi, que j'en suis pris d'effroit.
Elle est si forte, cette douleur qui m'emporte.
Je n'arrive même plus à rêver, tellement je suis troublée.
Mes entrailles sont si noué, que je n'arrive plus à manger.
J'ai tant ressenti de douleur psychologique, mais tout autant physique.
Cette douleur que je me suis infligé, pour toujours sur ma peau est marquée.
J'ai fait couler tant de mon sang, que s'en est effrayant.
Je me sens sale, manipulée, à cause des gens de la société.
Je me sens chassée, trahis, par ma propre vie.
J'aimerai tant que mon coeur soit sourd, ou qu'il arrête de jouer des tambours.
Je veux qu'il arrête de battre, et que mon âme parte.
Dans le fond sans même un soupire, je veux mourir.
Je n'ai pas la force de me tuer moi même, car je pense à la personne que j'aime.
Elle me redonne espoir, même dans mes jours les plus noirs.
Malgrés toute ma souffrance, elle me guérit de sa présence.
J'oubli tout quand elle est là, mais j'ai mal quand elle s'en va.
Quand je souffre, elle chasse ma douleur d'un seule souffle.
N'empêche que mon desir de m'éteindre, reste la sans craindre.
Comme je ne peux mourir je continurai a me faire mal, même si ce n'est pas normal.
Tant de fois j'ai soupiré, tant de fois j'ai pleuré.
Un seul geste,un seul mot, crée dans ma tête le chao.
Si mes larmes étaient des diaments, j'aurai rempli une mine depuis longtemps.
Tant de tristesse, que je cris la détresse.
Laisse moi partir,sans revenir.
Laisse moi souffrir, ou laisse moi mourrir.
Le remort
Elle avait l'air d'une jeune fille comblée, elle n'avait pas l'air si troublée.
Sur ses lèvres un sourrire, dans sa bouche un soupire.
Petite chose fragile, qui mène un combat agile.
Il est difficile de mener, sa vie comme on l'aurait souhaité.
Bien souvent elle est cachée, la vérité c'est la clé.
Malheureusement elle ne la pas dit, sa a gaché toute sa vie.
Maintenant elle n'a plus peur, elle n'a plus de douleur.
Elle ne pense plus a son avenir, juste ses souvenirs.
Elle n'a plus soif ni faim, elle ne veut plus rien.
Elle n'est plus pareille, une chose étange qu'est le sommeil.
Elle aura l'éternité pour dormir, car elle vient de mourrir.
Si seulement...
Seule dans le noir
Je perdais espoir
Je me sentais mal et rejeté
Je me sentais sale et manipulée
Ma confiance, je te l'avais donné
Et avec douleur, tu m'as remercié
Je te croyais mon ami
Tu étais le sauveur de ma vie
Mais très vite tu m'as ramener dans la réalité
En me disant ce qu'a tes yeux j'ai toujours été
Pour toi je n'étais qu'un jouet
Et bien sur sans regret
Tu m'as condamnée
De mon amitier, tu as abusée
Tu m'as montré que la douleur
Était plus forte que le coeur
Pendant si longtemps j'ai reçu tes coups
Et je ne disait rien du tout
Mais quand je me suis relever
Tu t'es indigné et tu m'as tuée
Mutilation
J'en ai assez de toute cette souffrance
Il faut que je brise le silence
Petit à petit, sa me ronge au fond de moi
Si sa continue, la mort m'emportera
Il faut qu'elle s'arrête, cette brûlure
Ma seule solution, les coupures
À chaque fois que j'ai regardé
Mes bras ensanglantés
Une seule chose me venait à l'esprit
C'est que j'ai mérité cette vie
Ne sachant pas réellement qui je suis
La meilleure solution, je fuis
Pour fuire cette douleur qui me hante
Je m'en inflige une differente
Peu importe ce que vous direz
Ce n'est pas ce qui me fera arrêté
C'est peut-être lache de ma part
Mais quand je me retrouve seule le soir
Je ne fais que penser
Alors je souffre de mon coeur mutilé
La meilleure chose que vous pouvez faire pour m'aider
C'est de ne pas s'en mèler.
Le reflet
J'ai vu dans tes yeux
Ton destin malheureux
J'ai vu sur tes lèvres
La plus grande des fièvres
J'ai vu dans ton soupire
L'absence des rires
J'ai vu dans ton cou
Les marques des voyous
J'ai vu sur tes seins
Le dur passé des tiens
J'ai vu sur ton ventre
Le secret de ton antre
J'ai vu sur ton bassin
L'envie de partir loin
J'ai vu sur tes jambes
Que chaques jours, tu trembles
J'ai vu sur tes chevilles
Trop de poids pour une jeune fille
J'ai vu sur tes pieds
Le besoin de t'en aller
J'ai vu sur ton corp
Le desire de la mort